Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle (11) : Rachid Commence LÉducation DOlga.
Ma rencontre avec Rachid avait été décisive. Désormais, je nétais plus lépouse au foyer qui trouvait le temps long, jétais devenue la femelle de Rachid, avec qui je passais chaque journée, dès le départ de Philippe pour son travail.
Je deviens la femelle de Rachid
Je passais désormais mes journées à faire lamour avec Rachid. Jétais insatiable, voulant rattr toutes ces années perdues et Rachid, étant particulièrement endurant, retrouvait très vite sa virilité, aidé si besoin par ma bouche et mes caresses expertes. Rachid me disait souvent :
Tu es incroyable, je nai jamais vu une femme comme toi. Tu nen nas jamais assez. Je suis un sacré baiseur, mais cest clair que je ne te suffis pas, tu vas me si je ne procure pas dautres mâles.
Tu me suffis, mon amour. Mais occupes-toi de moi. Encore !
Rachid navait aucun souci de discrétion, si bien que, très vite, tout limmeuble sut ce qui se passait chez les T et nous jugeait sévèrement, jétais définitivement cataloguée comme une putain et Philippe était méprisé pour sa complaisance.
Rachid et moi sortions en ville, enlacés. Nous nous embrassions publiquement. Rachid avait encore ren mes tendances à lexhibitionnisme quavait encouragées Philippe. Rachid voulait que je sois maquillée à outrance, portant des pantalons serrés ou des jupes « ras la touffe ». Il veillait particulièrement à ce que je ne porte jamais ni culotte ni string et que mes seins soient presque visibles.
Lorsquil mamenait au restaurant, dans un cinéma, il y avait ment un passage par les toilettes pour me baiser ou pour que je le suce. Au retour, nous avions droit à des regards noirs de la part des autres femmes, ou des paroles complices de machos de service qui félicitaient Rachid et demandaient « alors, elle est bonne ? » Il répondait « Exceptionnelle ! Pour le moment, je me la réserve, mais je la mettrai bientôt à disposition.»
Toute la ville, y compris les collègues de travail de Philippe, eurent connaissance de la situation.
Christine ne cacha pas à Philippe ce quelle pensait :
« Ton Olga est vraiment une salope. Elle a repoussé mon Jean, prenant prétexte dune petite défaillance, nous a humiliés devant nos invités et là, elle sexhibe avec cette petite frappe. Elle na honte de rien, cette petite garce !
Il a simplement fait ce quil fallait pour la faire définitivement basculée. Soyez patients, je suis convaincu quil va la transformer en salope intégrale ».
Dès ce moment-là, jaurais voulu que Rachid vienne vivre chez nous, car cétait une pour moi de le voir partir avant le retour de Philippe. A vrai dire, les pratiques sexuelles habituelles avec Philippe, qui commençaient par le nettoyage complet des traces de mes ébats dans ma chatte, mon cul et sur tout mon corps, complété par le récit détaillé de ce que nous avions faits dans la journée, tout cela, même avec la tendresse de Philippe, ne me suffisait plus.
Le premier week-end : une tenue plus quambigüe
Le premier week-end qui suivit ma rencontre avec Rachid, Philippe vit que toute la journée du samedi jétais triste et que je pleurais.
Il me manque chéri. Jai envie de lui, jai envie quil me baise, encore et encore. Je vais devenir folle 48 heures sans lui.
Tu sais que je ne supporte pas de voir comme ça, mon Olga. Appelle le, dis-lui quil vienne.
Toi mon cochon, tu nattends quune chose avec impatience, cest mater quand il me baise !
Tu ferais ça pour moi, mon Olga ? Je taime.
Oui nous le ferons, Rachid me la promis. Mais il veut choisir le moment et lorganiser. Que nous nous en souvenions longtemps.
Alors, dis-lui quil vienne, je vous laisserai lappartement pour le week-end.
Je tadore !
Olga appela immédiatement Rachid :
Bonjour mon amour. Tu me manques, jai envie de te voir. Je ne peux plus me passer de toi.
Tu es terrible ! Jai droit à du repos aussi !
Ah non ! Moi je nen ai jamais assez ! Philippe est daccord pour nous laisser lappartement tout le week-end
Cest sympa, il faudra quon lui accorde le spectacle ce quil attend avec impatience, mais ce nest pas encore pour tout de suite. Jai une idée : tu mets le top que je tai offert, tu sais celui qui est particulièrement décolleté et laisse ton nombril à lair. Tu prends la jupe la plus serrée et la plus courte que tu as. Maquille-toi à outrance, en insistant sur les lèvres, je veux quelles soient bien rouges. Pour les yeux, les joues, utilise ce quon a acheté lautre jour. Ah oui, noublie pas, ce que tu as de mieux en talons aiguilles, pour mettre tes jambes et ton cul en valeur.
Mais Rachid, tu vas me faire passer pour ce que je ne suis pas.
Mais si mon amour que tu es une putain. Ma putain. Fais ce que je te dis. Prends un taxi et attends-moi Boulevard Foch, près de la gare.
Rachid, cest le quartier des prostituées. Je vais me faire embarquer pour racolage
Ça me plairait que les flics te baisent. Tinquiète, fais ce que je te dis. Obéis, femme !
Jobéis, à la fois excitée et inquiète. Jai su plus tard que Philippe mavait suivi à distance, pour intervenir si ça tournait mal.
Dès le taxi, le ton était donné.
Et bien ma petite, on va à son travail. Hum si je nétais pas de service, jaurais bien été client
Ce nest pas ce que vous croyez, Monsieur. Je vais rejoindre mon amant.
Ton mac, oui. Tu dois être une bonne gagneuse !
Le taxi ma déposé près de la gare. Rachid mavait dit dattendre à proximité dun hôtel, qui était sordide et réputé pour être un hôtel de passe.
Je me suis mise à faire les cent pas, tortillant inévitablement du cul, tant ma jupe était serrée et les talons-aiguille narrangeant pas les choses.
Tes nouvelle ? Tu prends combien ?
Combien pour une pipe ?
Tu le fais sans capote ?
Tacceptes de te faire enculer ?
Tavales ?
Et quand je les envoyais promener, leur disant que je nétais pas ce quils croyaient, je me faisais agonir dinjures :
Allumeuse, salope, quest-ce que tu fiches ici alors, dans cette tenue ?
Javoue que jétais partagée entre la honte, la peur et lexcitation. Une voix me disait que jaurais dû suivre ces types et accepter leurs propositions. Ce qui me faisait envie, cétait dêtre un objet de plaisir, une chatte, un cul, une bouche. Bref, je voulais du sexe et jen voulais toujours plus. Rachid me faisait découvrir un autre aspect de ma personnalité, qui me faisait vraiment peur.
Ça a commencé à devenir très chaud quand les vraies professionnelles se sont aperçues de ma présence. Une première sapprocha, très agressive.
Dis-donc, toi, espèce de salope, quest-ce que tu fous là ? Qui ta autorisé ? Dégage !
Madame, vous vous trompez, jattends mon amant. Il ma demandé de mhabiller comme ça, mais je ne fais pas le trottoir.
Cest ça, prends-moi pour une conne en plus !
Je vous assure. Regardez ma carte didentité, jhabite les beaux quartiers de la ville
En plus tes une bourge salope qui vient faire ça parce quelle a envie de sencanailler. Je te préviens, quand mon mac arrive, tas intérêt à dégager fissa, sinon ça va aller mal pour toi !
Oui Madame, ne vous inquiétez pas.
Je passai un coup de fil à Rachid :
Mon chéri, que fais-tu, ça devient très chaud ici. Je ne peux plus rester sinon jai le choix entre le poste de police pour racolage ou la correction par un mac. Ils ne plaisantent pas ici.
La seule humanité que jai rencontrée dans cet univers glauque fût une autre prostituée, une jeune Africaine, Rita.
Enchantée, je mappelle Olga. Contrairement aux apparences, je ne suis pas une concurrente. Cest par vice que mon amant, Rachid ma demandé de mhabiller ainsi et de lattendre ici.
Rachid, tu dis ? Rachid A ?
Oui cest ça. Tu le connais ?
Oui, un petit caïd de la cité. Il vient de temps en temps ici comme client. Il est beau et il baise comme un Dieu. Tu devrais te méfier, Olga, ce type est un prédateur. Il ta fait venir ici, pas seulement par vice. Il peut être dangereux.
Merci de me prévenir. Moi et mon mari ne laisserons pas non plus faire nimporte quoi. Mais je suis folle dingue de ce type.
Justement, fais attention. Tu sais, Olga, jai vu comment tu mas regardé tout à lheure. Mon instinct ne me trompe pas, tu aimes aussi les femmes, nest-ce pas ? Tu es comme moi, bi ? Tu es si belle, Olga. Jai envie de toi. Et dans ce cas, cest gratuit, sourit-elle.
Oui. Toi aussi tu es belle, Rita. Maintenant que je suis libre de faire tout ce que je veux de mon corps, je ne veux me priver daucun plaisir. Je te laisse ma carte, tu me contactes et on fera lamour. Je te paierai bien entendu.
Pour toi, pas besoin de payer. Jai envie de toi, ma chérie.
Nous navions pas entendu Rachid approcher.
Eh bien, Olga, on dirait que tu tes déjà faite des amies. Tu ne dépareilles pas du tout dans le décor. Quand tes connaissances sauront dans quel quartier et dans quel secteur tu passes tes samedis soir ! Bonsoir Rita. Elle est belle, ma femelle nest-ce pas ? Te connaissant, je me doute que tu las déjà draguée.
Oui Rachid, prends soin delle, ne la traite pas mal, comme tu as fait à la précédente, Madame Sylviane.
Dis-moi toi tes toujours aussi attirée par les meufs, malgré ton métier. Je sens quelle te fait envie, mon Olga. Reste dans les parages, je vais moccuper delle et je reviens te chercher pour que vous gouiniez ! Jaime voir deux jolies femmes se donner du plaisir.
A ce moment-là, un type sapprocha de nous, lair menaçant. Rachid le calma :
Ne tinquiète pas, je ne viens pas sur tes platebandes. Je suis depuis quelques jours lamant, le mâle de cette bourge. Son mari narrive pas à la satisfaire, jai pris le relais. Ca me plait de lexhiber, de la faire passer pour une pute.
Profites en bien, gamin, fais bien cocu son enfoiré de mari et si tu la prêtes, fais-moi signe, elle est bandante. Mais évitez de faire ce genre de choses ici, on naime pas trop la concurrence, y compris quand cest gratuit.
Rachid me prit par la taille et entra dans lhôtel. Sa main était sur mes fesses. Il demanda une chambre et la paya en liquide. Devant le réceptionniste, Rachid mit ostensiblement un billet dans mon top. Jétais morte de honte, mais, pour montrer ma soumission, je jouais le jeu. Jen rajoutai même :
Dis donc chéri, tu as demandé à passer la nuit avec moi et à me faire la totale, sans capote. Cest plus cher que ça.
Rachid rajouta une liasse.
Et ben mon garçon, cest un sacré morceau que tu ramènes. Je ne lavais jamais vu dans le quartier.
Et pour une cause, cest une nouvelle, une occasionnelle. Une bourge qui aime sencanailler. Pour un bon prix, elle fait tout. Et comme cest une chaudasse, en plus elle prend son pied.
Et ben, vas-y, mon petit gars, monte et passe du bon temps !
Dans lescalier, Rachid me prit dans ses bras, membrassa fougueusement et enleva mon top.
Rien ne te fait peur. Tu sais que tu es très crédible en pute ?
Je savais que ça texciterait. En attendant, il te faudra assumer comme jamais, car jai le feu au cul, avec tous ses types qui mont abordé, sans parler de Rita que javais très envie de gouiner.
Je nattendis pas dêtre à la chambre pour les préliminaires, me retrouver nue et tailler une pipe à Rachid.
Une professionnelle, qui sortait dune autre chambre, me jeta un regard noir :
Quelle salope celle-là ! Elle ne peut même pas attendre dêtre dans la chambre !
Et en effet, je ne pouvais plus attendre. La chambre était plutôt spartiate, avec une douche et un lit qui avait dû servir à de nombreux rapports adultères ou tarifés.
Etreinte torride
Une fois dans la chambre, je ne voulais pas passer du temps à des préliminaires, à des baisers, des caresses, de la tendresse. Javais une envie folle dêtre prise, de me faire saillir, de copuler. Je me montrai encore plus chaude que dhabitude.
Je menfourchais sur Rachid en andromaque. Assise sur Rachid qui était allongé sur le dos, cela me permettait de choisir langle de la pénétration, de bouger mon corps selon le mouvement et linclination que je souhaitais. Jappuyais mes mains sur le torse de Rachid, qui, lui, avait les mains libres pour me caresser partout, seins, cuisses, clitoris, fesses
Jaime cette position car elle favorise lorgasme vaginal. Joriente mon corps pour la pénétration, selon langle où je ressens le plus de plaisir. La zone à lavant du vagin étant spécialement sollicitée, la position dAndromaque est propice chez moi à la stimulation du point G et permet une pénétration particulièrement profonde. Rachid, surpris de cette initiative, se laisse mener. Les mains sur ses épaules, je poussais de petits gémissements. Le visage déformé par le plaisir, mes seins se balançaient. Le plaisir montait en nous mais nous voulions retarder léchéance. Jaccélérai le rythme, jusqu'à mettre Rachid au bord de léjaculation, puis je ralentissais car je voulais que ça dure. Je jouais avec lui, m'amusant à le faire défaillir de plaisir, puis à le faire languir au point de le rendre fou. Je lui fis subir ce traitement pendant un gros quart d'heure, pendant lequel il tentait à plusieurs reprises de reprendre le contrôle des opérations.
Cependant, Rachid finit par réussir à me renverser et à me plaquer contre le matelas. Il mattrapa les mains, et me maintenant prisonnière, il se mit à me baiser sauvagement en missionnaire. Il me pilonnait à un rythme soutenu, je gémissais de plus en plus fort, et lui criais de continuer et d'aller plus vite. Stimulé par mes encouragements, il accéléra encore le rythme, ce qui me fit crier encore plus fort. Ivre de plaisir, je lui griffais le dos avec mes ongles, ce qui le stimula encore plus. En réponse à mes griffures, il me mordillait le menton et le cou.
Notre baise navait jamais été si sauvage. Rachid membrassait langoureusement avant de reprendre ses vas et viens, mais plus lentement. Il malaxait mes seins, avant de les lécher. Il reprit ses coups de reins, à un rythme plus rapide puis me prit en enclume, mes jambes sur ses épaules. Il me baisait ainsi, sûr de ma totale soumission, me regardant droit dans les yeux, tandis que je me tordais de plaisir, le visage décomposé par la jouissance, alors que le mâle inondait ma chatte de puissants jets de sperme.
Oh Rachid, cétait merveilleux. Je taime, tu es mon mâle, mon homme, celui qui me fécondera. Tu peux tout me demander, faire de moi tout ce que tu veux.
Jy compte bien. Je veux développer tout ton potentiel sexuel, te faire connaître tous les plaisirs, faire de toi une salope intégrale. Et Philippe, tu ny penses plus, espèce de salope ?
Je laime, mais cest différent. Mon mâle cest toi. Ca na jamais été lui.
Tu serais prête à te séparer de lui si je le demandais ?
Ca me ferait très mal. Mais si je dois choisir, cest toi que je choisis.
Rachid me donna une gifle.
Petite garce, il nest pas question que tu te sépares de Philippe. Ca décuple mon plaisir que de le déshonorer et ce nest pas fini. Dailleurs sans lui, je ne taurai jamais connu. Il va falloir penser à organiser la petite soirée quil attend avec impatience.
Je suis contente que tu acceptes mon Philippe. En ce moment, il doit être en train de se branler en pensant à ce que tu es en train de me faire.
Et ce nest pas fini. Je vais de lui le plus grand cocu de cette ville. Et noublie pas que tu mas promis son cul. Jaime ça aussi les culs bien serrés de mecs, surtout quand il sagit dun cocu.
Je le prépare pour toi, il adore ça.
A propos dhomosexualité, il y a Rita qui attend que je vienne la chercher. Elle brûle denvie de te gouiner, moi de vous voir ensemble, avant de vous baiser. Je descends la chercher. Donne-moi du fric pour quelle puisse passer du temps avec nous. Et surtout, reste sur ce lit, nue. Je veux te voir faire lamour avec une femme et je vais vous baiser toutes les deux.
Rachid moffre un trio bi
Quelques instants après, Rachid revint avec Rita. La jeune black était vraiment très belle. Je la désirai autant que javais envie dêtre encore et toujours à Rachid. Je navais pas eu de relation saphique depuis le départ dAgun et ça me manquait. Dautant que Rita semblait particulièrement attirée par moi.
Rita vint coller sa bouche sur la mienne. De mon côté, je posais ma main sur la bite de Rachid. Je la massais lentement par-dessus le pantalon pour ensuite m'attaquer à la fermeture éclair de sa braguette pour arriver à sortir sa queue. Je commence à me branler le clito.
Rita fait tomber sa robe, elle était nue en dessous. Elle vint près de moi. Elle me laissa le soin de continuer la fellation. Rita se met dans une drôle de position, elle est penchée sur moi, simplement, ses fesses en l'air. Rita est nue, derrière moi. Cest moi quelle veut. Elle s'accroupit pour venir poser sa langue sur mes parties très intimes. Je gémis. La main de Rita me masturbe. En même temps, nous suçons à tour de rôle Rachid.
Je ne sais comment il est arrivé à résister à nos fellations expertes. Il était excité et en même temps curieux de savoir comment nous allons nous faire jouir ensemble. Il regardait Rita qui continuait son cunnilingus. Cette fois elle y a rajouté un gode qu'elle a planté dans mon vagin. Elle me baise sauvagement, alors que la queue de Rachid est faite pour ça. Rita accélère ses mouvements et Rachid lâche sa sauce dans ma bouche ouverte. Son sperme n'est pas perdu pour tout le monde: Rita et moi nous nous embrassons pour le partager.
Comme il débandait provisoirement, nous lui tournons le dos. Cest à notre tour de s'aimer devant lui. Nous nous caressons comme seules savant le faire les lesbiennes, les seins, le clitoris, même le petit trou où nous nhésitons pas à y mettre nos doigts. Nous nous mettons en 69. Rita est à l'initiative des léchages, moi à celle des doigtages dans l'anus. Rachid rebande, prêt à nous baiser toutes les deux.
Il se lève pour rentrer dans un de nos orifices. Nous le repoussons. Rita a amené un double gode. Elle prend une fois de plus prend l'ascendant sur moi. Elle minstalle couchée sur le dos. Elle me met un peu plus de la moitié du gode dans le vagin, elle se couche, fesses à fesses pour introduire l'autre moitié dans son con. C'est elle qui manie l'engin. Je ferme les yeux. Rita demande à Rachid d'attendre qu'elles finissent de jouir à deux pour quil soccupe d'elles.
Rachid nous voit frémir plusieurs fois, à chaque jouissance. Je ne suis plus quune machine à enchaîner les orgasmes, plus forts les uns que les autres.
Nous nous relevons pour embrasser Rachid. Un de ces baisers à trois, langues sorties se caressant hors des bouches. Rachid nous tient au début par les épaules pour finir par une main sur chaque fente où il caresse tout ce qui est à sa portée. Il trouve d'abord mon clitoris, gonflé, plein de sève, prêt à parti encore. Celui de Rita est plus petit. Il nous fait jouir toutes les deux avec ses doigts. Il nous demande alors laquelle il doit faire jouir avec sa queue et où.
Rita décide de tout: Rachid doit me sodomiser et avant la baiser elle. La fille sans rien en elle lèchera l'autre. Je suis d'accord sur ce programme, à condition que je sois godée. Je me couche sur le dos, écarte les jambes. Rita me met le gode dans le vagin. Quand elle l'a mis bien profond et commence à me baiser, Rachid se met sur elle pour lui entrer sa bite. Je ne suis pas jalouse de voir mon amante se faire prendre par mon mâle. Elle gémit sans arrêt, triture mes seins, membrasse fougueusement et me dit des mots damour. Ma main est les couilles de Rachid, qui baise ma maîtresse. Je pose sur lanus de la belle black deux doigts. Je les rentre lentement et lui branle le cul pendant quelle me gode. Rachid sort du con de Rita et nous envoie plusieurs giclées sur le visage et les cheveux. Rita jouit deux ou trois fois et seffondre dans mes bras.
Je me mets en levrette, les fesses bien ouvertes. Je prends la bite de Rachid pour la mener sur mon anus. Il me sodomise sans y mettre trop de formes. Quand son gland passe je sens mon intestin s'ouvrir. Rita a remis le gode double et je suis désormais prise en sandwich.
« oui, oui, oui, encore, plus profond, Je jouis ».
Nous sommes sortis de lhôtel tous les trois ensembles, moi au milieu tenant la main de Rachid et de Rita. Pendant les semaines qui ont suivi, et malgré la débauche de sexe à laquelle je me livrais avec Rachid, Rita venait régulièrement chez moi pour de torrides étreintes saphiques. Je ressentais le besoin de livrer mon corps aux caresses dune femme.
Je venais de passer avec succès la première épreuve que Rachid avait prévue pour moi. Mentrainer dans cet hôtel glauque en me faisant passer pour ce que je ne suis pas. Il en avait prévu dautres.
Rachid moffre à Georges
Cette après-midi-là, jétais avec Rachid. Nous faisions lamour depuis des heures et à chaque fois cétait pour moi une découverte, en particulier du fait des positions différentes dans lesquelles il me prenait. Allongée sur le dos, javais posé une jambe sur l'épaule de Rachid et l'autre entre les genoux de celui-ci. Jaime beaucoup cela afin de stimuler le clitoris et accen le plaisir. Et cest à ce moment-là que la sonnette de la porte retentit avec insistance.
Oh non, Rachid, je ne veux pas savoir qui cest. Continue chéri, encore !
Cest quelquun qui insiste, cest peut-être important. Je vais voir.
Jétais très fâchée et frustrée. Me déranger quand jétais en train de menvoyer en lair avec mon mâle était pour moi insupportable.
Cest Georges le concierge. Je lai fait entrer.
Ah non, pas lui !
Mets une robe de chambre et viens nous servir un café ! Ne discute pas, femme !
Bonjour Mme T. Vraiment désolé de vous déranger dans un tel moment, mais cétait important !
Ce type me déshabillait du regard. Mes cheveux en bataille, le sperme séché sur mon visage et mes jambes, celui qui coulait de mon vagin disait clairement ce que nous avions faits depuis le début de laprès-midi, comme chaque jour du reste. Jétais troublée car je pensais à ce qui sétait passé dans le parking il y a un peu plus de deux ans. Jétais décidée à ce quil parte le plus vite possible, pour recommencer mes ébats avec Rachid.
Je vous écoute Georges. Que voulez-vous ? Vous nous dérangez. Figurez-vous que jétais en train de me faire mettre par Rachid. Et au moment où vous avez sonné, jétais sur le point davoir un nouvel orgasme.
Justement, Madame T. cest de ça quil sagit. Vos voisins nen peuvent plus de vos frasques.
En quoi ça les regarde ? Mon mari est au courant et il est consentant.
La plupart de vos voisins envisagent de se plaindre, dans un premier temps auprès du bailleur, peut-être à la justice, dans le cadre de la protection des mineurs.
Grand bien leur fasse !
Réfléchissez un instant. Il vous sera difficile après ça de trouver une autre location ou même à acheter.
Et quel est votre rôle là-dedans ?
Et bien, moi, je peux freiner tout ça, faire bloquer au niveau du bailleur. Jai pas mal de connections depuis le temps que je travaille dans cette société.
Et pourquoi vous feriez ça ? je croyais que vous me détestiez.
Cest vrai ma petite que je ten veux après ce que tu mas fait il y a deux ans. Mais jai beaucoup de sympathie pour Rachid, cest un très proche ami de mon fils Gilbert. Mais si tu veux mon aide, il faudra se montrer très gentille avec moi. Commence déjà par enlever cette robe de chambre. Ne fais pas ta mijaurée, je connais ton corps !
Mais enfin, il nen nest pas question, pour qui me prenez-vous ?
Pour ce que tu es, une pute. Rachid, elle est à toi ou non ?
Olga, ça suffit. Je tai offerte à lui. Cest grâce à lui que je tai repérée. Tu lui dois bien ça. Il aura le privilège dêtre le premier. Ne tinquiètes pas, il ne sera pas le seul !
Sil te plait, mon amour. Avec qui tu veux, mais pas lui. Cest un porc.
Justement, cest parce je sais que tu le méprises que jai décidé de toffrir à lui. Tu mobéis, femme ? Tu es libre, mais dans ce cas, je men vais et tu ne me verras plus !
Jamais, Rachid. Pardonne-moi, je tobéirai. Après tout, il y a deux ans, il mavait fait bien jouir.
Je préfère ça, dit Rachid en faisant tomber ma robe de chambre.
Par un dernier réflexe, je mis mes mains pour tenter de cacher mes seins et ma chatte. Rachid écarta mes bras.
Elle est belle, nest-ce pas ? Jen reviens pas quune telle femme soit à moi. Vas-y, Georges, elle est à ta disposition. Rappelle-toi seulement que je suis le seul désormais autorisé à jouir dans sa chatte.
Mon chéri, jaimerais que tu participes. Un trio, ce serait plus facile pour moi.
Je toffrirai des trios et même davantage une autre fois. Cette après-midi, tu es à Georges. Moi je veux simplement mater. Avoir le plaisir candauliste dont Philippe rêve tant.
Georges était assis sur un fauteuil. Il se mit à poil, exhibant une érection qui, sans atteindre celle à laquelle jétais désormais habituée avec Rachid, était tout de même impressionnante.
Approche petite pute. A genoux, tu vas commencer par me tailler une pipe.
Cest à Rachid que jaurais voulu faire cette fellation. Mais puisque jétais à lui, je me suis inclinée. Je me suis mise à genoux, aux pieds de Georges. Il a commencé par frapper mon visage avec sa verge. Je passais des coups de langue sur le gland et la tige. Puis il sest engouffré dans ma bouche, ma tenu la tête et a commencé à baiser ma bouche.
Merci petit de mavoir permis dêtre le premier. Si javais imaginé quun jour je serai ici, en train de me faire bouffer les couilles par la belle Olga T !
Je ten prie. Elle fait ça bien ?
Mieux quune professionnelle. Elle y met du cur. Elle a une bouche faite pour pomper.
Javais décidé de donner toute satisfaction à Rachid. Il avait voulu cela, je ne le décevrai pas. Pour mencourager, de ma main libre, je me branlai le clito.
La fellation dura un moment, jaurais voulu faire gicler Georges, dans lespoir den finir et de men tirer peut-être avec une pipe. Mais il ne lentendait pas ainsi.
Doucement, gourmande. Je me réserve pour mieux. Je veux te baiser !
Allons dans la chambre, ce sera plus confortable et plus symbolique si tu la niques dans le lit du cocu.
Je me suis relevée et jai pris la main de Georges pour lentrainer vers la chambre. Javais besoin de caresses, de baisers. Quil me touche. Je lui offrais mes lèvres pour un baiser
Touche-moi, embrasse-moi !
Pas de ça salope, je veux uniquement te sauter.
Arrivés à la chambre, Rachid sinstalla dans un fauteuil, pour ne rien perdre du spectacle :
Tu la veux comment ?
Mets-toi à quatre pattes, je te prends en levrette, cest bien ce quelle préfère, non ? Cest parfait pour une chienne comme elle.
Avec lAndromaque, cest en effet la position que je préfère. Parce quelle a un côté bestial, elle se prête particulièrement bien à ce qui se passait ce jour-là. Ce nétait que du sexe, aucun sentiment, aucune tendresse. Au contraire, cet homme se vengeait de moi en me possédant, en me couvrant dinjures. Le pire, cest que cette situation mexcitait, comme le fait que mon homme mavait offert et assistait au coït.
Viens me la mettre ! Quest-ce que tu attends ?
Il ne se fit pas prier et senfonça dun coup. Jétais excitée et donc bien lubrifiée, dautant que javais déjà été bien ramonée par Rachid depuis le début de laprès-midi.
Prends-ça, garce ! Ca te plait ?
Oui, salaud, tu me remplis bien. Vas-y, bien à fond, plus fort ! Plus vite !
Rachid nen perdait pas une miette. Il se branlait doucement et encourageait le mâle qui était en train de menvoyer en lair.
Putain, elle est encore plus belle quand elle jouit. Tu verras, cest incroyable le nombre dorgasmes quelle est capable denchainer. Tu pourras la sauter à chaque fois que le cur ten dit mon ami. Je ferai delle la plus grande salope de cette ville !
Son cocu avait raison de lencourager. Cétait du gaspillage quun tel trésor ne serve pas !
Je mis tout mon art pour le faire éjaculer, mais il tenait bon. Au moment où il était sur le point de jouir, il sortit de ma chatte, comme Rachid lavait demandé et fit signe à Rachid dapprocher.
Viens Rachid, on va larroser tous les deux !
Ils se mettent d'accord pour éjaculer en même temps et y parviennent. Ils visent ma bouche que je dois garder ouverte. Les yeux fermés, je sens les rafales de sperme atterrir partout sur mon visage, mes cheveux, mes seins.
Je me sens avilie, couverte de sperme. La honte devrait s'emparer de moi mais mon dégoût se transforme inexplicablement en un surplus d'excitation : me sentir et me savoir dégradée, salie, souillée, me plaît. Cest une pulsion que Rachid avait bien devinée.
Il y avait eu Georges et je savais désormais quil y en aurait dautres, beaucoup dautres.
Quand Georges fut parti, Rachid me fit à nouveau lamour, avec vigueur et tendresse, me remerciant pour ma docilité et la preuve damour que je lui avais offerte.
Tu ne crois pas chérie quil est temps doffrir à Philippe ce quil a tant désiré ?
Merci mon Rachid, pour lui et pour moi aussi. Jai tant envie de lui faire le cadeau de mon plaisir. Cest à lui que je le dois avant tout.
(A suivre : Philippe a enfin sa soirée candauliste)
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